Solitude ...
Silencieuse et discrète mais pourtant
si présente
Oh! Sensation étrange qui parcourt mon
être
L’immensité de ton gouffre me hante et
me tente
Infernale châtiment tu me fais
disparaître…...
Une à une tes paroles me vident et me
font peur
De ces sanglots muets naissent nombre
de souffrances
Et pourtant solitude, tu es comme ma
sœur…
Un jour peut - être ...
« Un jour peut être je me réveillerais, alors ce jour
là il y aura une étoile qui brillera légèrement plus que les autres dans ce
vaste ciel nocturne. Et d'un seul coup tout le petit monde qui s'élève au
dessus de ma tête se mettra en mouvement. Les étoiles, à commencer par celle
qui illumine le plus cette soirée, se mettront à tournoyer encore et
encore, de plus en plus vite, jusqu'à l'épuisement le plus incompréhensible qui
soit. Et du haut de ma qualité "d'homme", voyant ce balais aussi
terrifiant qu'apaisant, je me sentirai alors tout petit, aussi petit que la
plus infime particule de l'univers, comme un minuscule voilier perdu au
milieu d'un océan immense cherchant désespérément la lueur du phare...Et
c’est ainsi que les années passent, le silence s'installe peu à peu entre les
hommes, et du jour au lendemain sans même avoir eu le temps de s'en apercevoir
on a beaucoup grandi, on s'approche inexorablement de l’âge adulte, et ça y est
enfin : On est adulte, vous savez ce genre de "grandes personnes qui
on d'abords étaient de simples petits enfants, mais hélas qui bien souvent pour
beaucoup d'entre elles l’oublie, et c bien dommage". C'est exactement cela
qui contribue à la tristesse du monde moderne, les hommes n'ont plus de but contrairement
au enfants qui eux : rêve. Essayez mais même par tous les moyens qui
soient vous ne pourrait jamais l'empêcher de rêver, c'est dans sa nature. Il
est triste de constater qu'avec les années l'homme perd cette faculté qu'est
celle du rêve. Un jours une personne à dis la phrase suivante :
"Nous somme fait de l'étoffe de nos rêves", elle avait bien résumé le
problème, en effet sans le rêve il est manifeste que notre existence ne serait
que vaine...»